TENACE. Tel est le mot qui semble qualifier le mieux Blanche Gardin. Sur Facebook le 20 avril dernier, elle criait au scandale concernant l'émission diffusée sur Amazon Prime : "Je serais gênée aux entournures (pour ne pas dire que ça me ferait carrément mal au cul) d'être payée 200 000 euros pour une journée de travail même si je perds à votre jeu, quand l'association caritative de mon choix remporterait, elle, 50 000 euros, c'est-à-dire 4 fois moins, et encore, seulement si je gagne.", pouvait-on lire dans son post accablant.
Des propos qui avaient fait l'effet d'une bombe et qui n'avaient pas tardé à faire réagir certains candidats de l'émission à l'image d'Ahmed Sylla, qui avait participé à la saison 2. "Je n'ai pas trouvé ça cool de sa part à Blanche. Ça jette un peu l'opprobre sur nous autres" déplorait-il chez Cauet lundi 24 avril. De son côté, Amazon lui avait répondu dans un communiqué indiquant : "Nous payons notre juste part d'impôts, qui s'est élevée à 1 milliard d'euros en 2021, et nous offrons à nos plus de 20 000 salariés en France un environnement de travail sûr et moderne, avec des salaires compétitifs et d'excellents avantages sociaux."
"Quand on a une position politique sur un sujet, à quoi ça sert de le chuchoter dans sa chambre ?"
Trois mois après le scandale, Blanche Gardin explique au Point ne rien regretter : " Il fallait que je le dise. Tout en me préparant aux seaux de vomi. Quand on a une position politique sur un sujet, à quoi ça sert de le chuchoter dans sa chambre ? Je ne comprends pas le principe." Voilà qui est dit. Suite au prochain épisode.